BILAN ACTIONS REGIONALES !!!

BILAN DES ACTIONS REGIONALES :
Envoi d’environ 300 mails et 50 lettres (lettre d’information avec un appel à la grève) aux structures de la gironde, tout secteur confondu.


6 syndicats ont été contactés pour les informer et demander
leur soutien.


Suite à une demande, d’audience nous avons été reçu à la mairie de bordeaux et par le conseil régional (compte rendu ci-dessous). Concernant le conseil général nous comptons réitérer notre demande d’audience.


Concernant les ASSEDIC nous attendons que les étudiants
concernés envoient leur attestation avec la lettre (à disposition sur le site
et à l’IRTS) afin de connaître exactement le positionnement des ASSEDIC.

Des staffs de travail
ont été mis en place :

- Medias : Céline (0673540027) et Clémence


- Syndicats : Thomas (0625506682)


- Organisation 13 mai, manif nationale à paris : Charlotte
(0687842748)


- Organisation actions pendant les vacances : Marie
(0685502901)


- Envoi de l’appel des TSF au président de la
république : à chacun d’agir


- Pour tout autre renseignement vous pouvez contacter
Audrey (0610177603) ou me contacter, Marion (0650256644 ou 0556862336)


- Idées, travail en cours : coordination avec Pau,
Etcharry et Bergerac, discussion avec les orthophonistes, audience avec le
conseil général. Appel de l’UNEF pour le 15 mai, banderole sur l’IRTS,
coordination nationale le 25 avril à Limoges, manif nationale décentralisée le
30 avril, table ronde avec tous les acteurs et financeurs…


Suite à l’intervention de Mr Klein à l’AG de mercredi et à
la réunion des formateurs qui a suivi et où seul 3 formateurs étaient présents :

Le Groupement
National des Irts auquel appartient l’IRTSA a décidé de ne pas signer les
conventions de stage jusqu’au 14 mai. Les Moniteurs éducateurs qui devaient
débuter leurs stages le 5 mai voient donc ceux-ci bloquer jusqu’au 14 mai.


Le GNI et l’AFORS vont s’associer en une Fédération et
saisir les hautes instances en attaquant le décret devant le Conseil d’Etat.
(ils avaient déjà envoyer un courrier au
ministre xavier Bertrand et à Mr Tregoat afin d’obtenir une garantie écrite
quand au financement de la gratification mais restée hélas sans engagement de
leur part).


Enfin ils ne peuvent saisir la HALDE quand à la
discrimination et aux inégalités qu’engendre ce texte car seul les personnes
physiques (et non morales) peuvent saisir cette instance.





Les points communs à
nos revendications :


Un décret, (une circulaire) discriminatoire par son
application dans le secteur privé et pas dans le secteur public.


Une discrimination quand aux niveaux concernés par la
gratification (les niveaux IV en étant exclus : ME, TISF, AMP, AVS) seuls
sont visés les AS, EJE, ES, ETS (de niveau III).


Les
divergences :


Le versement par un organisme tiers.


Ils se prononcent plus en faveur d’un groupement
d’employeurs.


Le point sur la
discrimination quant aux niveaux touchés ou exclus par la gratification :

Le coût actuel de la gratification en France a été estimé à
20 millions d’euros. Si l’on y ajoute les filières des autres niveaux cela
multiplie par 3 ce chiffre.

En effet la loi sur l’égalité des chances de 2006 ne vise
que les stagiaires de l’enseignement supérieur et donc tous ceux ayant le
niveau bac en sont exclus or même si cela est bien éloigné de la réalité les
niveaux IV sont associés dans les textes de lois au niveau bac. Or l’abrogation d’une telle loi est irréaliste à l’heure actuelle.

Il reste le décret et la circulaire qui ont étendu le champs
d’application de cette loi au secteur social et médicaux social or une
modification pour englober les niveaux IV et s’adressant aux collectivités
territoriales (communes, départements, régions) nécessiterait l’intervention du législateur du fait de la loi de décentralisation.


Sachant qu’actuellement seul 10 départements sur 90 semblent
prêts à débloquer des fonds, le combat risque d’être long et difficile.


Enfin si les niveaux IV parviennent à obtenir la
gratification pour leurs stage de plus de 3 mois on doit prendre en compte la
légitimité de tous les autres niveaux bac a vouloir bénéficier de cette
gratification : les niveaux V dans le secteur social (animation..) mais
aussi tous les bac pro, formations Greta, BTS …ayant des stages de plus de 3
mois. Ce qui reviendrais encore une fois à devoir changer la loi de 2006 et
représenterais un coût énorme.








LA REFLEXION, LA
MOBILISTION ET LA LUTTE DOIVENT DONC S’INTENSIFIER !!!!

COMPTE RENDU DE LA
RENCONTRE DU


17 AVRIL AU CONSEIL
REGIONAL :

Délégation
étudiante :


Clément Blain, porte
parole au niveau national
Romain Bicons, porte
parole au niveau régional
Marion Gousset, porte
parole au niveau régional

Interlocuteurs :


Jean Pierre Dufour,
vice président du conseil régional, chargé de la formation professionnelle
Richard Chambon, chef
de service des formations sanitaires et sociales
Solange Menival,
conseillère régionale Aquitaine, déléguée aux services publics de proximité

DEROULEMENT :

- rappel du décret et de nos inquiétudes, de nos
revendications et de l’absence de concertation lors de l’élaboration des textes
réglementaires.

- Sensibilisation autour des problématiques rencontrées
par les stagiaires sur les terrains qui les accueillent et des difficultés qui
risques de s’accentuer si les gratifications restent à la charge des
associations.

BILAN :
- Ils ont compris toutes nos craintes, difficultés,
interrogations et attentes et nous apportes leur soutien.

- Difficulté soulevée sur la question d’un organisme
tiers :

Soulève la question de la
création d’un service au sein du conseil général comme organisme tiers
(ex ; de même type que le CNASEA).


Problème : la gestion de la
gratification par un service à un coût, de 5 à 15% de la somme servant à la
gratification sera prélevée par l’organisme gestionnaire.


- Nécessité donc d’un dialogue avec le conseil général
qui est à la fois employeur et financeur, envisagé peut être une convention
avec un quota de stagiaires par an à gratifier.

SOLUTIONS
ENVISAGEES :

- Idée
d’une table ronde réunissant les différents acteurs : conseil général et
régional, la DRASS (qui va devenir l’ARS et sera composé du même personnel avec
probablement à sa tête le préfet de région), préfecture, mairies et obtenir
l’adhésion des différentes branches professionnelles. Une journée pour aborder
l’urgence avec les problèmes liés à la gratification et débattre également de
l’éthique et de la pratique dans le social.

- Mr Rousset, président du
conseil régional va être averti de la situation qu’il pourra ainsi relayer dans
les instances publiques où il siège et par un courrier au ministre Xavier
Bertrand.

- Dans le cas d’un besoin
criant, d’une véritable situation de détresse des travailleurs sociaux en
formations touchés par la circulaire le conseil régional pourrait envisagé
l’éventualité de débloquer de 40000 à 100000 euros sur le fond d’aide social et
dont le gestion serait alors déléguée aux établissements.

RAPPEL :

Toutes les propositions et actions envisagées lors de cette
rencontre avec le conseil régional concerne la région aquitaine et s’adressent
donc tant à l’IRTS de Talence, qu’aux centres de formations de Pau, Etcharry et
Bergerac.



Concernant l’AG de la rentrée (le 5 mai) elle aura
probablement lieu entre midi et 2 car aucune grève pour la mettre en place n’a
été votée avant les vacances, sera alors l’occasion d’en votée une.

Nous essayerons de vous tenir au courant des évolutions et
nous attendons une vraie mobilisation de votre part.





@ Bientôt

juste au cas où si besoin
clémence => 06.32.19.63.56

Alors j'ai juste une question, même si je ne suis pas de votre région : j'ai vu dans la délégation étudiante deux porte parole au niveau régional, et 1 porte parole au niveau national...

Comment a été mis en place ce porte parole au niveau national ?

Sans coordination régionale, nous avons élu deux portes parole de l'école au niveau national.

Les coordinateurs régionaux essayent justement de mettre en place la fameuse coordination régionale. Logique mais difficile.

d'accord j'ai compris le système...

merci !

concernant le numero de tel de marie (staff actions pendant les vacances) c le 06 83 50 29 01.


des qu'on a des infos precises on vous tiens au courant notamment pour une action le 30 avril sur bordeaux.

@+++

comment avez vous organisé les groupes de travail??
quelles sont les actions concretes des groupes (ou personnes )
ya til des comptesz rendus ou des info de prevus???

salut,

les groupes de travail sont encore en cours, il n'y a qu'un petit noyau dur d'etudiants qui portent le mouvement depuis le debut et auquelle je suis venue me geffée. il y en d'autres qui nous aides ponctuellement du fait d'un manque de disponibilité.
A la seule reunion "officielle" de travail que nous avons faite nous etions une dizaine donc les choses se sont un peu faite sur le tas et par la force des choses. Ceci dit par ce site et un affichage à l'irts ceux qui veulent participer à un staff le peuvent. Ils seront les bienvenues.
Notre souci etant bien le peu de mobilisation de la part des TSF; nous sommes pourtant environ 90 ES, 60 AS, 35 EJE, 40 ME ...en 1ere annee...et pourtant une centaine seulement à la manif de jeudi, alors d'ici à s'engager dans un groupe de travail....
audrey informe regulierement des nouvelles par mail, a presque 150 etudiants.
concernant les actions ,infos et comptes rendus, tout est presque repris dans le bilan que j'ai fait et dès qu'on a des nouvelles on les transmettra sur le site et par contact mail ( et a l'irts quand on aura repris). Ainsi la prochaine info portera surement sur le 30 avril. il y aura des comptes rendus apres les rencontres au conseil general et regionnal, apres la coordination nationale....ce qui necessite de mettre en place des actions bref du boulot en perspective...

@++